Aaron Snyder

25 ans - Quelque part au dessus de l'Océan Atlantique le 31 décembre 1989- Américain - Chômeur Professionnel en CDI - En couple - The Hunters - Tyler Hoechlin

un peu plus sur sa vie

Aaron est du genre kamikaze  ◖ Depuis tout petit, Aaron ne prend plus l'avion, sachant que sa mère à accoucher en plein vol Paris - New York ◖ Son prénom vient de celui du pilote de l'appareil. ◖ Aaron a été déclaré "surdoué" dès l'âge de 5 ans. Cependant, sa mère lui mettant beaucoup trop de pressions, il décrocha bien vite de l'école. ◖ Aaron est bisexuel et ne le cache à personne. Il estime qu'il faut savoir apprécier tous les bienfaits de la vie. ◖ C'est un grand fan des Red Hot Chili Peppers.◖ Petit, sa mère l'a inscrit à des cours de country, trouvant sympathique qu'un homme sache danser. Cependant Aaron préférait les sports de contact. ◖ Hyperactif, il s'est fait virer de plusieurs équipes et d'écoles. ◖ Aaron aimait beaucoup se déguiser en super-héros : son préféré était Capitaine America ◖ Il a la fâcheuse habitude de parler la bouche pleine. ◖ Il ne quitte jamais sa gourmette, peu importe où il va. ◖ Il a un humour assez particulier, adepte du second degré et de l'ironie. ◖ Malgré ses presque 26 ans, il reste un grand enfant. ◖ Aaron est fils unique. ◖ Il se ronge bien trop souvent les ongles par stress ou tic ◖ Il ne faut surtout pas le décoiffer à moins de vouloir le voir s'énerver ! ◖ Il aurait aimé avoir une petite soeur. ◖ Il est polyglotte grâce à sa mère qui l'a éduqué en lui parlant plusieurs langues : Anglais, Français, Italien et Espagnol. ◖ Aaron manque cruellement de confiance en lui malgré les apparences. Sauf quand il s'agit de tuer des zombies... ◖ Il a une vision de la vie bien tranchée et peu se montrer virulent lorsqu'il s'agit de défendre des convictions. ◖ Il déteste les gens qui mâchent leur chewing-gum la bouche ouverte. ◖ Il collectionne différents parfums pour varier selon son humeur. ◖ Il adore dessiner pour passer le temps. Bien souvent, c'est les scènes des attaques qu'il a perpétré la veille qu'il met sur papier. ◖ Il regrette de ne pas avoir appris à jouer d'un instrument. ◖ Il réagit souvent au quart de tour, les gens le pensant complètement bipolaire. ◖ Il adore prendre sa voiture et rouler sans but. ◖ Il fume régulièrement des joints depuis la mort de sa mère. ◖ Il ne connaît pas son père. ◖ Il tient à sa barbe de trois jours comme à la prunelle de ses yeux. ◖ Quand il aime, il est prêt à tout pour la personne concernée. ◖ Dans le cas contraire... Gare à vous, il peut s'avérer être une véritable pourriture. ◖ La caféine est son meilleur ami des matins difficiles. ◖

Jolie petite histoire

I AIN'T GONNA LIVE FOREVER

un peu plus sur sa vie

L'odeur émanant de la salle d'attente laissait paraître un mélange de tabac froid et de transpiration, le tout parsemé de quelques effluves d'alcool. Les chaises formaient un cercle autour d'une seule petite table sur laquelle s'entassaient de stupides magasines people. Rien pour s'instruire autrement dit, à part si le fait d'apprendre que Kate Moss et toute sa bande se sont faites arrêter pour possession de drogue relève de l'instruction. Je tapotais sur le cadran de ma montre en espérant que les aiguilles tournent plus rapidement. En vain. Je n'étais pas le seul à attendre ici, à mon grand désarroi... Mamie surbigoudisée vêtue d'une robe qu'on croirait issue d'un rideau de mauvais goût parfumée à l'eau de Cologne, riders transpirants, enfants braillant à s'en égorger, sans compter ces satanés flics qui ne bougent pas le petit doigt pour essayer de faire avancer les choses. La nouvelle lubie du shérif du comté d'Eugene se trouvait être un recensement de la population. En cette période assez macabre, il n'avait pas tort. Il y a quelques jours de cela, une convocation m'était parvenue, me demandant de me présenter au poste pour dix heures le lendemain matin. A cet instant, cela faisait six heures que j'attendais, sans café, sans eau, sans avoir eu la moindre chose à grignoter. Et depuis ce matin, seulement deux personnes avaient eu la chance d'accéder à un bureau. Deux personnes sur vingts.... Je n'étais pas du genre impatient, je n'aimais simplement pas être pris pour un con. Chose que faisait bien trop souvent les forces de l'ordre.

Une porte s'ouvrit au lointain, laissant s'échapper quelques rires gutturaux camouflé par ce que je devinais être une embrassade. Comme bien souvent, mon calme disparu  et je me levais à grandes enjambées, traversant tout le commissariat malgré les protestations des enquêteurs pour débouler comme un acharné dans le bureau du Shérif. Digne d'une scène préfabriquée, le fauteuil était de dos à la porte d'entrée. Un léger rire nerveux m'échappa, exaspéré par l'instant que je vivais. Je sentais naître le sourire au creux des lèvres de mon interlocuteur malgré le fait que je ne puisse le voir. C'était comme ça, je cernais bien trop facilement les gens. Puis, c'était une grande histoire d'amour avec ce type également. Je commençais à m'avancer une fois de plus quand sa voix me parvint, si froide et dure à la fois. Cette voix qui avait hanté mon passé. Les frissons me parcouraient le dos lorsqu'il prononça mon nom, comme à l'époque.

« Aaron... Je pensais te voir bien plus tôt... Tu as gagné en patience jeune homme... Installes-toi, nous n'en avons pas pour longtemps. »

Mes pas devinrent fébriles, comme si l'homme de vingt-six ans que j'étais, revenait à ses sept ans. Un petit garçon fragile, timide et orphelin. Celui là même qu'avait recueilli la famille du Shérif. Généralement les enfants adoptés et élevés par une famille d'accueil ne gardent pas forcément un bon souvenir. Le mien était atroce...

« - Je viens simplement remplir les papiers Gary... Ne te méprends pas.

- Le contraire aurait été surprenant... Mais si c'est pour les papiers que tu viens, nous allons les faire. »

Le fauteuil se retourna en un bruit de crissement, m'offrant enfin à la vue, la seule figure d'autorité que j'avais eu la chance de connaître enfant : Gary Jenner. Shérif depuis plus de vingts ans maintenant, pas forcément grâce au talent, il est bien plus idiot qu'un homme lambda. Cependant, il a un je ne sais quoi, un charisme émanant de sa personne, qui clouerait n'importe quelle personne sur place. Ses cheveux rasés courts mettent en valeur sa mâchoire carrée et son long passé militaire. Ses yeux bleus persans rigidifient ceux qui ont le malheur de croiser son regard plein de hargne et de colère. C'était un homme de l'ancien temps, à la carrure d'athlète et aux idéaux ancrés dans des préceptes que peu de monde ne pouvait comprendre. J'en avais fais les frais durant les années où je vivais avec. Et cela m'avait laissé des traces... et quelques cicatrices. Je m'installais sur le fauteuil, tentant de m'éloigner du mieux que je le pouvais de son bureau où trônaient de nombreuses médailles et autres récompenses qui faisaient sa fierté. Je n'osais pas ouvrir la bouche, de peur qu'un son digne d'un émasculé s'échappe, laissant paraître ma peur et toute dignité qui pouvait m'habiter. Je préférais attraper un stylo muni d'un dossier vierge et commencer à le remplir. Cependant ses doigts noueux s'abattirent sur ma main subitement, m'ôtant le dossier agilement avant de rire machiavéliquement.

«  - Tu ne pensais tout de même pas t'échapper si facilement. C'est à moi de le remplir jeune homme, et à ma façon... Prénom, nom, date de naissance. »  me demanda-t-il d'une voix sévère.
Je ne cachais pas mon ébahissement, ne comprenant pas pourquoi il s'acharnait de la sorte à vouloir essayer de nous faire tenir une discussion plus de deux minutes.

« - Tu plaisantes j'espère ? Tu les connais, tu peux remplir tout seul cette partie... Comme tout le dossier ! Alors si tu m'as fais venir ici, donne moi une bonne raison de rester si ce n'est pour remplir ce fichu bout de pap...

- DONNE MOI TA PUTAIN D'IDENTITÉ ! »

Son ton impatient venait de rendre muet le reste du commissariat, apercevant via la baie vitrée tout les regards se braquaient sur moi, comme si j'étais un voyou qu'on essayait de faire avouer. Vous savez ce regard de dégoût, de pitié et de déception. Celui qui vous reste gravez en mémoire durant des décennies lorsqu'il provient d'une personne que vous aimez. Celui qu'aucun fils ne mérite de recevoir de la part de sa mère. Mes mains se resserraient sur le bord du bureau en verre, laissant blanchir mes jointures et apparaître mes empreintes sur le meuble. Je me concentrais sur mes inspirations et expirations, tentant de rester maître de mes mots et mes actes, tout en offrant à Gary ce qu'il souhaitait.

« - Aaron Snyder, né le 31 décembre 1989 à mi-distance entre Paris et New York..

- Tu aurais pu t'appeler Boeing... Tu imagines... Profession, situation familiale ? Ou tu finis en bon petit SDF ? »

A ces quelques mots, je me mordis l'intérieur des lèvres. Cette conversation me rappelait étrangement certaines que nous avions pu avoir lorsque je revenais du lycée avec un bulletin lamentable. Je n'étais pas très scolaire, passant la majeure partie de mon temps à regarder l'accouplement de pigeon à travers la fenêtre et à éviter les questions des professeurs. Je ne voyais pas l'intérêt... Si ce n'est le fait de ne pas me prendre une dérouillée en rentrant à la maison. Mais même cela ne suffisait pas pour m'obliger à travailler. Je m'étais contenté de la note minimal me permettant d'obtenir tout mes diplômes, et consacrais toute mon attention à l'apprentissage de sport de combat et maniement d'armes... En secret ! Un martèlement de poings sur le bureau et le bruit des affaires tremblantes me ramenèrent à la réalité. Je m'étais une fois de plus laissé voguer au fil de mes pensées et en oublier l'homme se tenant prestement face à moi. Soupirant, je me frottais les joues frénétiquement, comme si la sensation de chaleur s'installant sur mon visage pouvait me faire sortir plus vite de ce cauchemar.

« - Sans emploi, Célibataire... Orphelin de mère depuis l'âge de sept ans, père inconnu... 

- Une sacrée traînée ta mère, je me souviens...

- JE T'INTERDIS ! »

En un saut, ma main se précipita sur le col crasseux de la chemise de Gary, resserrant du plus fort que je le pouvais mon emprise sur lui. Mon autre bras s'était armé derrière mon épaule, poing fermé, prêt à fondre sur le visage de cet enflure. Je ne supportais jamais que l'on puisse salir l'honneur... Je n'avais peur de rien lorsqu'il s'agissait de faire payer ces insanités. Cela se voyait dans mon regard, cela se sentait dans la rage m'échappant. Gary ne détournait pas le regard, il eût même un petit sourire sournois tout en levant ses mains en l'air, comme nombreux innocents l'auraient fait pour une arrestation abusive. Mes mains se resserraient, sentant mes doigts craquaient sous la pression. J'entendis la porte s'ouvrir, entendant des cris de femmes qui avaient assisté à la scène depuis la vitre. Un canon froid se posa sur ma nuque, lorsqu'un souffle chaud m'ordonna à quelques centimètres de mon oreille de lâcher le Shérif. Gary m'adressa un léger clin d'oeil lorsque je relâchais doucement son vêtement, sentant la pression redescendre. Le flingue qui me menaçait redescendit et Gary somma son homme de main de retourner à ses occupations. Chose qu'il fit dans un soupir en me lançant un regard de mort. Jenner dépoussiéra son uniforme, se réinstallant à son aise tout en riant comme s'il venait de se rendre compte ce qu'il venait se passer.

«  - Tu pensais vraiment que tu pouvais faire ce que tu voulais ici... Tu n'es rien Aaron... Parents adoptifs et habitudes de vie. C'est l'une des dernières questions... 

- Gary et Louise Jenner... De mes 7 ans à mes 21 ans... Habitudes de vie ? Coups et blessures continuels... Gary a légèrement la main lourde lorsqu'il s'agit de sévices corporels. Comme s'il prenait son pied à taper sur un gamin et sur sa femme... Le pire dans tout ça... C'est que personne ne veut le croire. Le Shérif faire ça ? C'est impossible n'est-ce-pas ? »

Mes questions étaient rhétoriques et ma voix pleine de haine. Je voyais son regard faiblir, comme si les images des violences que je subissais lui revenaient en esprit. Les coups de matraque lorsque ma chambre n'était pas rangée, des coups de genoux dans les côtes pour me punir de mon insolence. Et le tout amplifiait par dix lorsque j'osais répondre... Jusqu'à me laisser pour mort. Combien de fois sa femme dût appeler le médecin pour fournir un justificatif  d'absence à l'école. Les excuses variaient selon l'humeur, la saison et les blessures. Accident de rollers, chute en vélo, blessure en balade, brûlure malencontreuse et j'en passais. Mon corps représentait le théâtre de nombreuses scènes de ménages ! Remontant la manche de ma chemise, je plantais sous son nez mon avant bras marqué d'une immense cicatrice violette. Et sans attendre qu'il prenne la peine de répondre, je surenchéris.

«  - Tu penses vraiment qu'un gamin de dix ans s'amuse dans la remise avec la scie ? Ou qu'il s'amuse à se faire couler de la cire de bougie chaude pour tester de nouvelles cultures ? Tu sais très bien tout ce que c'est... Qu'est ce que cela t'apportait Gary... QU'EST CE QUE CELA T'APPORTAIT MERDE ! »

Je dévisageais Gary, voyant son visage pâlir. Il était déjà bien blanc lorsque j'étais entré dans le bureau,  ce qui m'avait surpris, mais là, c'était assez flagrant. Commençait-il à se rendre compte des horreurs qu'il m'avait fait endurer ? Une pointe de prise de conscience ? L'âge jouait peut être sur  sa réaction. J'en fus tellement étonné que je me rassis au fond de mon fauteuil, ne sachant trop quoi dire. Je sentais les larmes me montaient aux yeux et les chassais en un battement de cil ne souhaitant pas me montrer trop émotif. Je croisais mes jambes, posant mes mains sur mon genou, tête basse. Gary rangeait les feuilles dans l'ordre, comme si le dossier était clos. Pensant en avoir enfin terminé, je me levais sans me retourner lorsque sa voix, une fois de plus, me rappela à l'ordre.

«  - Il faut préciser la mort de ta mère dans le dossier... Rassieds toi...

- Ne me tiens pas la jambe histoire que je reste ad vitam aeternam... Tu sais tout Gary. Ma patience a des limites...

- Aaron... Cela fait cinq ans que nous ne nous sommes pas vus... Hormis le fait que je doive recenser ta présence dans cette ville, ce que je souhaite c'est savoir ce que tu deviens...

- Comme si cela t'importait ! Tu ne t'en es pas préoccupé pendant quatorze ans, c'est maintenant que cela te travaille...

- Cause du décès de ta mère ?

- Tu m'as obligé à la tuer... »

Je ne cachais pas le dégoût qui m'envahissait. Je regardais mes mains qui avaient mis fin aux jours de ma mère. Sous le regard d'un adulte, faisant parti des forces de l'ordre. Ma mère avait été griffée par un zombie en faisant ses courses et fût contaminée. Je découvris la nouvelle vie de ma mère... Ne plus dormir, se nourrir de cerveaux et parfois être hantée par le passé de ceux qu'elle venait de manger. Et le risque qu'à n'importe quel moment, elle me griffe ou autre... Devenir un mort vivant ? Non merci. Enfin c'était ce qui m'avait fait aller voir notre voisin... Gary Jenner. Sa décision fût vite prise : je devais abattre ma mère. Il chargea son arme de service et m'offrit le pistolet dans les mains. Ses mots raisonnaient souvent dans mon esprit lors de mes nombreuses insomnies. « C'est comme les jeux vidéos petit, appuie sur la gâchette et tu as gagné... je te regarde.. Vas y ». Et les cris de ma mère qui me suppliait de ne pas l'écouter. Ses yeux embués de sang me fixaient, et toute raison sembla s'envoler de son esprit. Elle s'avançait vers moi, et la peur m'envahit. Mes doigts de refermèrent sur la gâchette et la vie s'évapora du corps de ma mère. Gary avait applaudit face à la scène et s'était occupé du reste.

Je sentis la présence de Gary derrière moi, et je ne lui laissais pas le temps de poser sa main sur mon épaule que je pivotais face à lui, son arme dans les mains. Les sports de combat m'avaient rendus vif, agile, fort et rapide. Je m'en servais pour traquer les zombies à mes heures perdus, considérant que je devais venger la mémoire de ma mère. Gary semblait surpris de me voir riposter, et un rire m'échappa.

«  - Comme si cela pouvait réellement te surprendre. Tu savais très bien qu'un jour cela arriverait... Tu m'as demandé ce que je faisais de mon temps perdu ? Je chasse les gens de la même espèce que toi... Oui Gary, je sais ce que tu es... Je ne l'ai pas vu tout de suite, mais le souvenir de l'état de ma mère me rappelle étrangement le tien... Comment t'es tu retrouvé dans cette galère ? 

- Qu'est ce qui m'a trahis... Je me suis retrouvé dans un guet-apens et je ne pus réellement résister...

- Et Louise ? Tu l'as aussi rendue comme toi ?

- Louise est morte... Je l'ai tué pour me nourrir... »

Je reculais d'un pas, heurtant le mur face à cette déclaration. En soit, cela ne m'étonnait pas venant de lui, mais j'aimais beaucoup cette femme douce et fragile à la fois. Il lui aura fait vivre un enfer jusqu'au bout... Comme à toutes les personnes qu'il côtoyait. Mon regard s'assombrit, ma mâchoire se referma.

«  - Tu sais quoi Gary... C'est comme dans un jeu... »

Mon doigt appuya sur la détente, et la détonation soulagea toute la peine que j'accumulais depuis des années. Ma véritable histoire pouvait débuter.  

♛

You're iiiiiin!

Can you spare a brain?

L'impression de Adelyn: J'aime beaucoup ta fiche! Ton histoire est super bien écrite et tout et tout *-*. Donc, j'te valide avec plaisir  

Te voilà donc validé(e)! Tout d'abord, bienvenue officiellement! Étant donné que tu as passé la douane, tu peux maintenant te balader sur le forum: Je te conseille de commencer par les liens et les sujets. Ensuite, tu dois aller nous dire où tu vis (parce que oui, il parait que c'est important =P) et le métier que tu fais (ça aussi, ça nous intéresse!). Ensuite, il t'es aussi possible d'aller flooder un peu, ou encore d'essayer les jeux! Sinon, tu as également la possibilité de faire des scénarios ou des minis scénarios...Bref, tu as de quoi faire, voilà! (a)

Have Fun!

(c) fiche:WILD BIRD & gifs:gifs hunt c l o s e d