Matteo G. Rossi

23 ans – 24 Mars 1992 - Italien - Mécano – Célibataire depuis peu – Almots Humans – Daniele Carta Mantiglia

un peu plus sur sa vie

Matteo a un talent pour le chant ◖ Il a une peur bleu des insectes ◖ Les hamburgers lui manque tellement il en est totalement fan
◖ Il adore lire et surtout les comédies romantiques ◖ Il déteste le mauvais temps ◖ Il n'aime pas du tout se nourrir de cerveau alors il repousse toujours l'inévitable avant de craquer ◖ Depuis sa transformation, il n'a pas osé reprendre contact avec sa famille ◖ Matteo est du genre à rester seul, il n'aime pas le bruit ◖ Il ne sait jamais prendre de décision fixe et est toujours à se demander si c'est bien ou mal, à se demander s'il n'y aura pas de conséquence sur son futur ◖ Le fait d'être devenu un zombie l'a totalement anéanti, il a peur de vivre normalement, au risque d'être tenter ◖ Il aime les garçons depuis un moment mais n'a jamais réellement fait son coming out ◖ Avant sa transformation, son père l'a jeté dehors lorsqu'il a apprit l'orientation sexuelle de son fils ◖ Il est très proche de sa petite sœur contrairement à son frère ◖ Lorsqu'il était enfant, Matteo jouait beaucoup à la poupée avec sa sœur, il faisait autant pour lui faire plaisir que pour se faire plaisir aussi ◖ Il a laissé sa sœur le maquiller une fois ◖ Il a essayé d'avoir une vrai relation avec une fille une fois, ça a été un véritable échec ◖ Depuis sa transformation, il observe sa famille à distance, allant déposer quelques petits cadeaux dans la chambre de sa sœur quand il n'y a personne ◖ Il souffre énormément de sa condition et ne la supporte pas ◖ Il aime beaucoup les endroits un peu haut pour y voir la vue ◖ Matteo possédait un chien avant, chien qu'il a dû laisser à sa sœur comme ce dernier lui aboyait constamment dessus depuis son changement  

Jolie petite histoire

PETITE CITATION QUI PÈTE DES PAILLETTES

un peu plus sur sa vie

I. Un frère protecteur, un frère qui fait peur.

"Matteooooo!!" Je tourne la tête en entendant mon prénom, me demandant bien ce qui se passait. "Quoi? Qu'est ce qui se passe?" Je fronce les sourcils et sors de ma chambre, c'est là que ma petite sœur me percuta, manquant de me faire tomber tellement le choc m'avait surpris. "Oh doucement Ivy. Qu'est ce qui t'arrives ma puce?" Elle me regarde des ses yeux implorant, limite au bord des larmes et je la garde près de moi. "Un monstre sous mon liiiit! Viens me sauver steuplait!" Elle me prend la main, la sienne parait si petite et si fragile dans ma grande main d'adolescent. Elle m'attire dans sa chambre et je la suis, attentif avant de regarder dans sa chambre, rien d'anormal et lorsque je regarde sous son lit, un sentiment de colère m'empare. Ce n'est autre que mon stupide frère qui a décidé de faire peur à notre sœur. "Enzo ! Dégage de sous ce lit !" Il se mit à rire et se retira avant de me regarder. "Quoi? On a même plus le droit de rire maintenant? Pas de ma faute si elle ne sait pas faire la différence entre le réel et le faux." Je hausse un sourcil, serrant les poings, Ivy toujours accroché à moi, je lui metterais bien un coup de poing en plein visage mais cela risquerait de faire encore plus peur à ma sœur, ce que je me refuse à faire. Enzo met les mains dans ses poches, un sourire aux lèvres, et passa à côté de moi, me regardant d'un air moqueur. Mon frère méritait bien une bonne raclée pour avoir fait peur à ma sœur, mais heureusement que je réussi à me maitriser, j’aurais bien été capable de lui faire du mal pour venger ma petite sœur. « Laisse le partir Matt… viens avec moi. Marie veut nous avoir à dîner. »Marie n'est autre que sa poupée Enzo se mit à rire alors qu’il descendait les escaliers, ce qui me rendait encore plus grognon, je détestais quand il faisait ça.

II. Trahison

« Matteo Gabriel Rossi ! » Je regarde mon père, ce dernier m’observe de haut, comme à son habitude depuis qu’il avait commencé à boire. « Oui ? » Je ne sais pas pourquoi il me regarde de cette manière, et je n’aime pas le ton qu’il prend envers moi, sauf qu’il est mon père et que je tente de garder encore le peu de respect que j’ai pour lui. « Ton frère m’a dit quelque chose d’inquiétant à ton sujet. » Enzo est juste derrière lui, gêné d’un seul coup par le simple regard que je lui lance. Même si notre père ne l’avait pas encore dit, je savais très bien ce que mon frère avait été lui répéter, surement dans un but non voulu de rejeter la colère de notre géniteur sur moi, histoire de lui éviter des ennuis. Je ne savais pas s’il l’avait vraiment fait exprès, mais en cet instant je lui en voulais énormément, je lui avais même fait jurer de garder le secret.

« Je sais qu’on ne s’entend pas mais s’il te plait ne dis rien ! » Lui avais-je imploré. Il m’avait surpris à cet instant en train d’embrasser un mec de ma classe dans les toilettes de l’école, oui, pas très romantique je l’avoue, mais les mecs passaient moins de temps au toilette que les filles, c’était un endroit assez tranquille en général, et il avait fallu que mon frère passe à ce moment-là. La gêne se voyait sur son visage, il ne paraissait pas dégouté, ni même en colère contre moi, il ne savait tout simplement pas comment prendre la chose, et moi, je ne savais pas du tout comment réagir face à tout ça. Personne n’était au courant de ce que je ressentais, du fait que j’aime les hommes, je n’étais pas encore prêt à ce que tout s’ébruite, que tout le monde sache alors j’implorais mon frère de ne rien dire, de garder ça secret. Enzo m’avait alors regardé. « Comment tu veux que je garde ça pour moi ? Tu embrasses un mec dans les chiottes du bahut et tu veux que je me taise ? Donne-moi une bonne raison Matteo ! » La tête baissé, je n’ose pas affronter son regard, le mec craquant de ma classe se met à tousser, prétextant qu’il devait aller à la bibliothèque et nous laisserait parler tranquillement. Je soupire avant de relever la tête. « Tu es mon frère Enzo, agit en tant que tel… avec Ivy on a toujours eu besoin de toi, mais tu n’en as jamais rien voulu savoir, alors maintenant garde ce secret pour moi, comme je garderais toujours le tiens. » Oh oui, des secrets j’en avais à tire larigot avec lui, je savais plus de chose sur sa vie que mes parents n’en sauraient jamais. Enzo se mit à sourire avant de passer une main dans ses cheveux. « Ok frangin… je resterais sage, mais je sens que toi et moi on a beaucoup de chose à se dire, viens avec moi, allons marcher un peu. » Je le suis donc, mettant mes mains dans les poches, regardant droit devant moi. « Ça dure depuis longtemps ? » Sa question me surprend. « Oh… je crois oui, je n’ai jamais su quand ca a exactement. » D’un seul coup il s’arrêta en face de moi. « Attend un peu ! Ça veut dire que toi et la jeune Thompson c’était du flan ? » Je ne pus m’empêcher de rire. « Seulement une expérience que j’ai voulu tenter, et non ce n’était pas du flan, il y a bien eu quelque chose entre nous, mais après avoir… enfin tu sais quoi, je me suis rendu compte que ce n’était pas ce qui me fallait… »

Nous avions passé énormément de temps à parler lui et moi, j’ai même cru que je pourrais enfin avoir un grand frère, celui qui me protège, qui me conseille. Il avait accepté ma condition, et là, il m’avait poignardé dans le dos ! Me balançant à mon père. Je regarde d’ailleurs ce dernier. « Ah oui ? Et quoi ? » « C’est vrai que tu aimes les garçons ? » Voilà ou je voulais qu’il vienne, je tente de ne pas trembler, de lui montrer que je ne changerais pas d’avis sur ce que je suis. « Oui. » Je m’étais attendu à ce qu’il me crie dessus, qu’il me dise d’arrêter ça, mais je ne m’étais pas du tout attendu au coup qu’il me donna. Je chancelais sous le coup qu’il venait de me donner, me tenant à la table qui se trouvait juste derrière moi. « ALONZO !! » Ma mère, qui assistait à toute la scène, s’approcha de son mari, l’empêchant de me donner un autre coup, ses yeux trahissaient son inquiétude, elle avait peur qu’il aille jusqu’au bout, qu’il me blesse pire que maintenant, mais c’était trop tard… vu sa réaction je savais qu’il ne m’accepterait pas, qu’il ne s’habituerait jamais à ce mode de vie. Mon paternel poussa ma mère et je lui pris la main pour l’attirer vers moi, de peur qu’elle ne se reçoive un coup elle aussi. Mon paternel avait le regard fou de colère. « Tu as intérêt ça tout de suite, sinon ce n’est plus la peine de faire partie de cette famille Matteo ! » Je flageole doucement à sa menace puis regarde ma mère, Enzo et Ivy, qui attirait par les cris vient tout juste de descendre de sa chambre. « Très bien… tu peux considérer que toi tu n’en fais plus partie non plus. » Je montais dans ma chambre et prépara en hâte mes affaires que je regroupais en un seul sac ainsi qu’une valise.

III. Mauvaise rencontre

Je suis à peine sorti de chez moi que j’ai trouvé refuge dans un bar en attendant, je ne sais pas encore ce que je vais faire de ma vie, tout est si soudain mais je ne pouvais pas du tout rester là à rien faire alors que mon père aurait encore dirigé ma vie, je ne sais pas ce qui me retient d’aller voir la police… Je réfléchissais, assis au bar en train de boire une boisson chaude, il faisait encore froid, même si les beaux jours arrivaient, mais j’avais besoin de m’éclaircir les idées. Comme j’avais un boulot, je pourrais demander à mon patron de me laisser dormir au garage le temps de me trouver une chambre, personne ne viendrait m’embêter surement, je devrais tenter. J’appelle déjà mon petit copain, Albert, qui pourrait surement me conseiller sur la marche à suivre, je devais reconnaître être un peu perdu... « Hey salut c’est Matt… désolé si je te dérange, tu n’aurais pas un endroit où je pourrais dormir ? Mon père vient de me mettre à la porte… Quoi ? Chez toi ? Non, je veux pas m’imposer… bon ok ! J’arrive, je t’expliquerais tout à l’arrivé. »

Je bois d’une traite ce qu’il me reste de boisson, donne l’argent au barman puis je m’en vais. Je tourne à droite, Albert habitait seulement à quelques pâtés de maison, ce ne serait pas très long à pieds, fort heureusement d’ailleurs. Je tourne pour entrer dans une ruelle, un petit raccourci rapide, sauf que je me rends bien compte que je ne suis pas tout seul. Je m’arrête et regarde autour de moi, si j’avais réussi à tenir tête à mon père, ce n’était pas pour autant que je réussirais à le faire avec n’importe qui. Une peur panique s’empare de moi. « Il y a quelqu’un ? » Demandais-je d’une voix étouffé. Aucune réponse, ce qui devrait me rassurer mais ce n’est pas le cas, je me sens tellement mal, j’ai un mauvais pressentiment d’un seul coup. Je devrais vite reprendre ma route, sauf que lorsque je regarde de nouveau devant moi, quelqu’un se tient juste là, sur mon chemin, ce qui me fit sursauter. La fille qui se trouve devant moi à l’air totalement perturber, elle a le teint blafard, les cheveux blond limite blanc et ses yeux sont d’un rouge à faire peur. Je prends mon courage à deux mains, elle avait surement besoin d’aide. « Mademoiselle ? Vous avez besoin d’aide ? » Tandis que je continuais de m’approcher, de toute façon, elle me barrait la route, je n’avais pas le choix, mais elle tremblait, et elle ne bougeait pas du tout de sa position. « Mademoiselle ? » Elle ne me répond pas, mais me fixe ardemment, ce qui me bloque, je m’arrête, ce qui signe automatiquement mon arrêt de mort puisque sans prévenir, elle me fonce dessus…

IV. Réveille en enfer

Je me réveille en sursaut, ne me sentant pas bien du tout. Un haut les cœurs me fait ressortir je ne sais quoi de mon estomac, et je reste là, immobile pendant que je ferme les yeux, tentant de reprendre mes esprits. J’ai mal partout, mes muscles sont tout endolori… mon esprit était flou et je restais dans le vague, le temps que je situe de nouveau ma soirée d’hier. Je n’étais pas allé à une fête, ce n’était pas possible puisque ce n’était pas mon univers, je ne buvais d’ailleurs presque jamais. Mon regard se posa sur ma valise et mon sac à dos non de moi et tout me revint en mémoire. Cette fille ! Je l’avais prise pour une victime mais elle m’avait attaqué… et je ne me souviens de rien par la suite, qu’est-ce qu’elle m’avait fait ?! Je panique, sentant ma respiration s’alourdir tandis que je regarde mon corps. Je suis rassuré en voyant que je n’ai aucune cicatrice, ouf, elle m’avait laissé mes organes… par contre, elle m’avait griffé au bras, je regarde la plaie qui est déjà sèche. Je me souviens avoir voulu me protéger et je suis tombé… j’ai dû me prendre un coup sur la tête. Mais à en vérifier, tout va pour le mieux. C’est à n’y rien comprendre, elle m’a attaqué mais elle ne m’a rien volé. Peut-être a-t-elle eu tout simplement peur… En tous cas maintenant je suis seul et je ne me sens pas bien du tout. Je regarde mon téléphone et voit plusieurs appels manqués de mon patron, ainsi que de ma mère, ils veulent savoir ou je suis et ce que je fais. Je m’apprête à rappeler ma mère pour la rassurer quand d’un seul coup, quelqu’un s’approche de moi. « Vous allez bien monsieur ? » C’est un homme ordinaire, qui a tout simplement envie d’aider, et je détourne assez vite le regard de mon téléphone pour l’observer. « Je ne sais pas… » L’homme se penche vers moi et me prend le bras, prenant mon pouls. « Vous êtes pâle et vous avez une belle entaille sur le front, vous avez peut-être une commotion, je suis ambulancier, je pense que le mieux serait que je vous emmène à l’hôpital. » Combien de chance avais-je de tomber sur lui ? Une sur un million surement mais non, je ne voulais pas qu’il m’emmène là-bas. « Non, ça va, je vais bien… » J’avais toujours eu horreur des hôpitaux, je voulais juste aller chez Albert, histoire d’aller déposer mes affaires avant d’aller voir la police pour leur parler de mon agression. L’ambulancier haussa un sourcil puis m’aida à me relever, je n’aimais pas me sentir épier de cette façon. « D’accord, je vous dépose donc ou vous voulez, mais aux moindres signe de faiblesse, vous n’hésitez pas à me rappeler. » Je lui fis oui de la tête et nous nous dirigions donc à l’adresse que je lui indiquais.

A mon arrivée, mon copain a été content de m’accueillir, mais il avait un drôle d’air, je ne sais pas pourquoi il me regardait de cette façon, comme si j’avais une tête d’un déterré. C’est bien plus tard en allant prendre une douche, que j’avais remarqué cette pâleur sur mon visage, mes cheveux, déjà blond d’ordinaire l’était encore plus… je m’étais demandé ce qui se passait sur le moment, puis je me souviens que la fille d’hier soir avait exactement la même chose. C’était quoi ce bordel ? Puis l’entaille que j’avais au front suite à ma chute était déjà presque guérie. Je jetais vite un œil à celle de mon bras, qui n’était plus qu’une petite ligne rose… soit je suis devenu une sorte de X MEN en puissance ou alors, j’ai un véritable problème ! « A table ! » Je me dépêche de m’habiller, me sentant intrigué et paniqué, je ne sais pas ce qui m’arrive exactement mais tout le temps du repas, je n’avais aucun appétit… des spaghettis qui pour moi aurait été englouti en deux secondes, n’avaient plus du tout aucune saveur dans ma bouche. Pourtant j’avais faim, je mourrais de faim littéralement, mais rien ne me faisait envie. Albert finit par s’emporter après une énième question auquel je ne donnais toujours aucune réponse. « Ecoute ! Si tu ne veux pas me parler d’accord ! Mais je croyais que l’on se disait tout et qu’on ne mentait surtout pas ! Tu n’arrêtes pas d’esquiver mes questions, de me dire que tu vas bien, alors que non, je le vois bien… et c’est quoi ce look que tu portes Matteo ? Tu vires au gothisme maintenant ? Ce n’est pas parce que ton père t’as foutu hors de chez toi que tu dois carrément changer de style ? Tu vaux beaucoup mieux que ça plutôt que de rester enfermer avec tes problèmes. Parle-moi ! » Je ne sais pas ce que j’ai, c’est ça le problème, et au lieu de lui dire que non, je ne me sens pas bien depuis mon réveil ce matin, que cette femme qui m’a agressé a dû me faire quelque chose... je ne dis rien, je me tais. Par contre, la colère me monte au nez, sans aucune raison particulière, et je serre mon couvert alors que je n’ai pas touché à mon assiette… « Tu ne sais rien alors tais toi ! » Il me regarde surpris de lui parler aussi sèchement, mais c’est plus fort que moi, je n’ai pas envie d’être agréable du tout. « Ok… tu joues les gros durs maintenant. Ecoute Matteo, si j’ai commencé à sortir avec toi, à subir notre relation dans le secret, c’est pour toi, parce que j’aime ce que tu es mais là, si tu me parles de cette façon, tu peux prendre la porte directement ! Je ne chercherais pas à te retenir. » Je me lève et le prend par le cou, le mettant contre le mur, sans même sourciller. « Alors maintenant toi aussi tu vas t’y mettre ? Tu vas aussi me chasser comme mon gros connard de père ? » Je serre tellement fort que je le vois s’étouffer entre mes poings, mais je bouillonne, et j’ai très faim… je dois manger, et d’un seul coup, il me parait tout apetissant !

V. Oups?

J’ai dû mal à le croire… Albert se trouve devant moi, à même le sol, mort, dans une mare de sang. Je n’ai pas pu me contrôler, j’avais terriblement faim et il était là, au mauvais moment. Une fois la première bouchée avalé, j’ai commencé à entrevoir quelques bribes de souvenirs, des moments que l’on a passé ensemble, qu’il a passé ici et ça a été comme une gifle pour moi. Je ne suis pas bien, je tremble de partout et les larmes ruissellent le long de mes joues, ne faisant pas taire la culpabilité qui me ronge en cet instant. Qu’avais-je fait ? Mon dieu… pourquoi ? Je n’ose pas regarder son corps, je n’ose même pas imaginer la terreur que j’avais dû lui inspirer avant qu’il ne meurt… j’étais devenu un monstre. Un mangeur de cerveau…

♛

You're iiiiiin!

Can you spare a brain?

L'impression de Adelyn: ohmondieu, que j'aime ta fiche *-* J'aime beaucoup ton histoire, ta manière d'écrire, toussa toussa. Donc je te valide, of course!

Te voilà donc validé(e)! Tout d'abord, bienvenue officiellement! Étant donné que tu as passé la douane, tu peux maintenant te balader sur le forum: Je te conseille de commencer par les liens et les sujets. Ensuite, tu dois aller nous dire où tu vis (parce que oui, il parait que c'est important =P) et le métier que tu fais (ça aussi, ça nous intéresse!). Ensuite, il t'es aussi possible d'aller flooder un peu, ou encore d'essayer les jeux! Sinon, tu as également la possibilité de faire des scénarios ou des minis scénarios...Bref, tu as de quoi faire, voilà! (a)

Have Fun!

(c) fiche:WILD BIRD & gifs:gifs hunt c l o s e d